[Petite animation] Concours de poèmes

Concours de poèmes
Concours poétique (vous l'auriez deviné!) ouvert à tous et à toutes, participez!

Un beau soir d'Aperirel, pour continuer à diffuser amusement et convivialité avant leur prochain évènement pour le mois de Maisal, la compagnie Air Force Sram décida d'organiser un concours de moindre ampleur. Anselme donc griffonna de sa plus belle plume sur un parchemin que la pilote put afficher à l'aéroport le soir même, parmi les activités collectives. Le principe du concours était accessible à tous et les participants avaient un certain temps pour rédiger leur oeuvre poétique, que du bonheur! On pouvait y lire :

[Petite animation] Concours de poèmes Concoursdepomes

[Petite animation] Concours de poèmes Concoursdepomes

[HRP] Introduction :

Ce concours était à la base destiné aux seuls passagers mais j'ai trouvé dommage de ne pas partager de l'amusement avec les autres visiteurs de ce forum, la cinquième étoile sur le forum n'étant accessible qu'à partir de 1000 messages c'est un rêve pour la plupart d'entre vous (ahem) donc j'ai décidé de faire une exception en octroyant le rang de 'Passager Clandestin' assorti de cinq étoiles au gagnant de ce petit concours. Héhéhé je vois le regard brillant de certains d'entre vous! Pour les autres n'hésitez pas non plus, il ne faut pas forcément participer par appât du gain, venez nous prouver la candeur de votre verve!

Principe :

C'est un concours écrit, durant lequel vous devrez manier votre plume de sorte que l'humour soit mis en exergue sans néanmoins laisser la prose de côté. Le thème doit être absolument respecté et qui ne le fera pas n'aura aucune chance de le remporter (ne vous mettez pas à parler de votre Mama Koalak qui refusait de vous laisser manger des aubergines par exemple), tout comme les plagieurs, etc. Je ne vais pas m'étendre en détails fastidieux, passons au plus important! (Si vous avez des questions, n'hésitez pas à les poser à la suite de ce message ou par message privé.)

Le thème :

Le thème est un peu vague, pour permettre à vos talents ~~très~~ enfouis de se délier, il s'agit de la compagnie Air Force Sram, du Bouing 312 et de son équipage, et de manière plus générale des voyages et de l'esprit d'aventure et de découverte que nous véhiculons. Le poème ne devant pas forcément être un éloge car ça peut inspirer certains d'entre vous de parler de votre mal de l'air ou de dire que vous n'aimez pas les voyages.

Diverses indications :

Du monosyllabe à l'alexandrin, du dactyle à l'anapeste, de l'absurde au romantique vous n'avez aucune contrainte. Tout me va du moment que le thème est respecté et que c'est amusant.
Bien sûr les copilotes qui ont déjà un rang spécial et cinq étoiles peuvent participer quand même, que le jeu commence et tralalilala! [/HRP]

Ô Bouing,
Toi qui t'envole si haut,
Au dessus, ou parfois dans les oiseaux...
Toi qui t'écrase parfois, mais qui
Par la volonté d'l'équipage,
Redécolle de plus belle
Et retourne dans le ciel !

Ô Bouing,
Silhouette gracile,
Qui vole au d'sus des îles
Toi qui nous emmène
Dans des périples sans précédent
Qui nous font perdre haleine
Et parfois même manger nos dents...

Ô Bouing,
Je t'aime de tout mon coeur
Toi et tes passagers,
Ces grands moments de complicité
Les rires, les cris, les pleurs
Feront que jamais je ne t'oublierai
Jamais, je te le promets.

Quand l'aurore pointe son nez
douce lueur aux cernes d'été
tombe sur nos yeux
la lumière des cieux

J'ai, pendant si longtemps,
A son appel répondu présent
parcourant monts et vallées
dans une recherche désespérée

Puis vint ce jour
où, lors d'un détour
je rencontrais ces passagers tout à fait charmants

Attente et impatience
sourires et reconnaissances
Depuis ce jour, mes blonds cheveux volent au vent

( Gnah.. Pas satisfaite des dernières rimes... C'est un pseudo-sonnet... Pas respecté les syllabes. J'avais une superbe phrase avec Air Force Sram dedans, mais vas faire rimer Air Force Sram avec quelque chose, mon vocabulaire est pas assez étoffé pour ça. )

Ayant appris d'un passager qu'elle avait croisé qu'un concours de poèmes était en cours à l'aéroport, Elva se décida à participer avec sa plume maladroite, après correction par un ami elle déposa un petit parchemin à côté des autres, on pouvait y lire ces quelques mots :

Pour toi môman que j'aime
Et ton Bouing brillant
Je t'écris ce poème
Toi maîtresse de céans
Il fait tôt, c'est matin
Mes paupières alourdies
Tombent jusqu'en mes mains
Mais toi, tu me souris.

Bouing, ô beau Bouing
Vaisseau songe d'avenir
Bouing, ô beau Bouing
Où iras-tu demain ?
Ton nom tel un saphir
Eclaire les chemins.

Bouïng.

Ombre fugitive
Arpenteur des cieux voilés
Là, aux quatre vents ...

(Z'avez vu le jeu de mot avec "là, aux" (là-haut)? *fier* ... Ok, c'est pas terrible. )

C'est la panique voilà Air force Sram,
Si vous les croisez attention à vos âmes,
Des gens diaboliques hors de contrôle
Ils sont sadiques mais bénévoles.

D'un coup de dague Isaya vous plante,
Une flèche dans les fesses c'est Arc-cade qui vous hante
Votre bourse vide, ne vous posez pas de question
C'est Brioche, qui vous l'a mis dans l'fion.

Ne restez pas près de la Vengeresse,
On n'dirait pas mais c'est une tigresse
Elle a même fait fuir la femme aux Iops
Que l'on nomme Neyney et presque myope.

Je ne vous conterais pas l'histoire des autres passagers
Cela vous couperait l'envie de manger,
Mais maintenant vous savez à quoi vous en tenir
c'est a dire, loin de ces martyres.

( Omg voila ma participation ._. j'ai honte c'est votre faute, à me forcer >.<)

[Sujet réservé aux oeuvres, messages n'en contenant pas déplacés.]

« Tu sais… lorsque tu fais un long voyage dans les air et qu’avant même de voir la côte, le Mistral t’apporte ses notes de pins et de lavande… tu te retrouves entre deux temps de ta vie. »

« Tu vois, quand un long voyage touche à sa fin, qu’il ait été agréable ou pénible, splendide ou destructeur… ou un peu de tout ça en même temps… une nostalgie profonde vient te saisir. Et tu es impatient d’atteindre enfin la terre, d’arriver à bon port. Pourtant, tu restes anxieux. Et si la vie à Terre, là où ça ne roule pas, là où l’incessant claquage des cordes et des voiles n’existe plus… Si cette vie là n’est pas faite pour toi ? Pourtant, tu veux la découvrir. Tu sais que c’est là que se trouve ton destin. »

C’est seulement quand chaque fibre est une douleur
Que l’esprit est bien et que l’âme a moins froid

Échappé, brisé

Quand le cœur s’emballe au rythme des moteurs
Quand il s’affole au claquage des corde sur le bois

Frappés, jetés

C’est la que je m’envole tel le grand bouing de bois et de tissus
C’est là haut que sous mes muscles tendus
Je me sens vivre et exister

Bouing
Nulle ne sait d'où il vient
Bouing
Fils du grand air
Bouing
Qui peut dire où il sera demain

Isaya nous parle du ciel
Comme si c'était son pays
Parcourant le dessus de la mer
Le dessus de la mer d'Asse

Bouing
Il vous amène loin d'ici
Vers les plaines de Cania
Vers le ciel de Bonta

Bouing
Nulle ne sait où il va
Bouing
Apportant le grand air
Bouing
Le grand air de nouvelles terres

Bouing
C'est écrit dans les lignes de leurs mains
Dans les lignes des mains des passagés
Ils passent leurs journées
Ensemble a rigolé
Pour les voltigeurs la route est longue

Ils continuront leurs errances
Au-delà des chemins des marins
Ils suivront le bout du monde
Un ciel d'un bleu d'azur
Coule dans leurs sang
Coule dans veines

Bouing
Qui peut dire où il sera demain
Bouing
C'est écrit dans les lignes de leurs mains...

Air Force Sram

Nul ne sait d'où ils reviennent,
Quand ils descendent du ciel.
Au milieu des bruits,
Ils laissent leur bouing,
Ce n'est que pour conter,
Et faire saliver,
Les amanknéens qui ne connaissent pas le grand air,
Et leur faire découvrir à leur manière,
Ce monde si calme et apaisant,
Qu'est le firmament.
Quand ils atterrissent,
C'est souvent pour vous faire rire,
Et vous divertir chaque mois,
Avec leurs divertissements amusants.

( Je sais c'est nul, merci :] )

Voilà qu'arrive l'aventurier tout frais, tout fébrile
Rêvant de voyages à travers les cieux, habitant les nuages
Dériver au gré des vents, les oiseaux comme compagnons
Il monte dans le bouing et décolle vers son bonheur
Et trois p'tits tours et puis s'envole, le voilà déjà au paradis
Et trois p'tits tours et puis s'en va, ramené à terre par le mal de l'air

Se levant face à la mer, il voit le port, ses navires, ses marins
Se nourrissant de leurs espoirs, il se voit maître des océans
Affrontant les léviathans, cherchant les trésors enfuis
Il monte dans le bateau et navigue vers son élément
Et trois p'tits tours et puis se met en vogue, le voilà dans le creux des vagues
Et trois p'tits tours et puis s'en va, ramené à terre par le mal de mer

Son regard se tournant vers les terres, il voit tous les autres aventuriers
Par défi, il se lance dans la quêtes des œufs de dragon, vers la puissance

absolue
Il remonte dans le bouing, souhaitant parcourir les terres dans la carriole
Et trois p'tits tours et puis s'élance, le voilà sur le chemin dans la gloire
Et trois p'tits tours et puis s'en va, ramené à terre par le mal de terre

Il revient chez lui triste et déçu de son voyage
Que lui manquait-il pour réussir ? Pourquoi ne pouvait-il pas conquérir ce monde ?
Sur le seuil de sa maison, il comprit : ses chaines étaient ses liens
Ce qui le retenait était ceux qu'il aimait
Trois p'tits tout et s'en ira pas, ramené chez lui par le mal du pays

(PS: c'est mon 1000ième message certes, je l'avais réservé pour un RP mais je vais reporter ça, je suis content du poème contrairement au RP. Je sais que le thème n'est pas vraiment respecté, mais la poésie est un art libre et il me plait de transgresser ces règles, même si ça me prive toute chance de victoire)

Elrawen revint une nouvelle fois , déposant un nouveau parchemin.

Citation :: Feuille d'hiver qui vole au delà des toits
Se perd et s'accroche à mes doigts
Dans les mornes plaines, du haut de la caravane rénovée
J'entends grimper à moi un rire à gorge déployée

Il m'emporte, me convie
Où jamais n'a résonné un cri

Fantasque voyage que cette vie
Dont le vol toujours fluctue,varie
Mille histoires, mille passagers concernés
Pour autant de fins une fois le boing arrêté

Il vole oui, il revit oui
Il semble guéri

Et mon coeur vigilant s'est endormi
Bercé par le brouhaha du moteur qui vrombit
L'effervescence est douce, indolore
Et la joie ne m'atteint pas, pas encore

Au souffle balbutiant de la compagnie
Vient naître un fol espoir, une envie
Visiter de moi même ce monde
En contempler lacs et rotondes

Franchir de mes pas dangers et périls
Aller nageant sans peur d'îles en îles
Redécouvrir le plaisir, l'excitation
De poser mes pas en d'inconnues nations

Et cueillir enfin au crépuscule naissant
Une rose pour celle que mon cœur attend
Alors peut-être animé par le désir de rentrer
Porterais-je mon regard vers la proche cité

Mes yeux cherchent un pilote en vain
Pour la rejoindre quel meilleur moyen ?

Tss

C'est quand le besoin se fait sentir
Que le boing, lui, sait se tapir

Belomen

Le bouing s'envole,
Ciel d'été, rires amusés
Passagers en paix.

(Ouais bon voilà un haïku tout pourri ._. Pour le "passagers en paix" ça veut dire "Trop dans le bonheur quoi" !)

Madrestam, la nuit. Lieu et moment privilégiés pour se laisser aller à des rêveries, en observant le reflet vacillant de la lune sur les vagues. Enfin, si et seulement si personne ne vient troubler votre quiétude. Comme par exemple des pattes recouvertes de coussinets qui viennent se poser sur vos yeux, les griffes à demi plantées dans vos paupières.

- Devine qui c'eeeessstttt!
- Kiryelle... Je t'ai entendue arriver depuis le Zaap... Qu'est-ce que tu fais debout à cette heure-là? Et comment t'as su où j'étais?
- Bah s'pas compliqué, t'es tout l'temps sur l'vieux phare! Pis j'suis viendue t'voir passke j'ai b'soin d'ton aide!
- Mon aide...?
- Vi! M'dame Isa l'a d'mandé qu'j'écrive un peau-haime sur l'Bouing, ou la compagnie en zénéral... Pis comme tu les connais mieux qu'moi, t'pourrais m'aider.
- Ben euh... Si tu veux, mais je...
- S'pour demain!

La fillette avait, d'ores et déjà levé vers Atharaxya son regard larmoyant, de celles qui savent obtenir ce qu'elles veulent.

- Allez, montre-moi voir ce que tu as déjà fait.

Kiryelle lui tendit un parchemin sur lequel était maladroitement tracée une seule et unique ligne.

Boowingue

- Hem... Ca promet...

N'ayant pourtant jamais été douée pour la littérature, la jeune femme commença à se creuser les méninges, la fillette gardant un œil attentif sur son travail. Du moins le garda-t-elle pendant quelques minutes, avant que le sommeil n'ait raison d'elle, et qu'elle s'endorme, lovée contre sa préceptrice d'un soir. Laquelle ne s'en rendit pas compte immédiatement, absorbée qu'elle était par sa tentative d'écriture.

Au bout de quelques heures, elle finit par relever les yeux de son parchemin. Son œuvre avait fini par prendre une forme correcte, pour une petite de sept ans. Une petite de sept ans qui dormait toujours, à poings fermés, à ses côtés. L'horizon rosissait déjà des premières lueurs annonciatrices de l'aube.

- Bon, je suis encore bonne pour une balade au château...

Atharaxya saisit délicatement la fillette dans ses bras et se mit en route pour la forteresse. La citadelle était encore endormie, elle se déplaça ainsi aussi discrètement que possible. Arrivée devant l'aéroport, elle poussa doucement la porte. Fort heureusement, l'huile de Koode avait fait son office, et les gonds n'émirent aucune complainte. Elle déposa Kiryelle sur le tapis près de la cheminée, et relut une dernière fois le parchemin.

Citation :: ~~Boowingue~~ Bouing

Amaknéens de tous horizons, approchez!
Incarnam a laissé choir un de ses joyaux
Regardez-le, il arrive, taïaut, taïaut!

Fendant les airs dans un vacarme assourdissant,
Oiseau d'étain et de toile, peu ragoûtant,
Raillant de la physique les moindres repères.
"Comment ça peut voler ce machin, dis maman?
Et ben... J'en sais rien, du d'manderas à ton père!"

Super pouvoir? Maître Chafer enrôlé pour
Reconvertir les aventuriers en soupapes?
Ave Isaya chaque heure, chaque jour
Maintiendra le volatile sur son cap.

Faisant une petite moue, elle roula le parchemin et le glissa entre les pattes de Kiryelle. Avec un peu de chance, personne ne verrait la différence...

Air Force Sram

Dans la contrée montagnarde d'Amakna
Un bateau ailé s'envola.
Appelé Bouing par un groupe de passagers
Il doit supporter leur rires, leurs cris et leurs hilarités.

Il est géré par une disciple de Sram
Du magnifique nom d’Isaya
Qui, après quelques drames,
Répara le Bouing fissa.

L’aéroport prit tellement d’ampleur
Que la nouvelle se répandit en quelques heures.
Si bien que des personnes vinrent à la nage
Pour faire partie de l’équipage.

Ce fut donc l’histoire du bord
D’un bateau-avion volant
Prenant la direction du nord
Sans se tromper de tournant.

Essai Dyslectographique.

Partout où j'allais
Le Saint Chacha marchait
Partout où le Saint Chacha trottinait
Les monstres trépassaient.

Aussi longtemps que je cheminerai
Les monstres seront massacrés
Amakna ne pourra trembler
Tant que je me baladerai

Les Donjons seront nettoyés
pas que dans le monde j'errerai
Et que routes seront marquées
par les traces des Saints Coussinets.

______________________________________________________
J'ai appris par une femme

Il y a quelques jours

Que dans l'aéroport d'Air Force Sram

On organisait un concours.

Un concours de poème

Ou l'on devrait parler

Des cieux que l'on aime

De l'air que vous respirez.

Moi vraiment je n'ai jamais

Voyagé sans être malade

Et à chaque fois que j'en ai parlé

Je n'ai raconté que des salades.

Je ne sais rien de leur agence

Ou de leur communauté

Personnellement j'aime bien Air France

Mais là je m'égard du sujet.

Du coup je ne sais pas quoi dire

Alors je ferais mieux de partir

Sur ce je vous remercie

De m'avoir accueillie ici.

Ninon
______________________________________________________

Une bière à la main, Zywoo déposa son poème et le fredonna en sortant.

Citation :

Un coup de vent vient apporter, dans l'étrange aéroport, une lettre. Courte, étrange, poésie hybride de prose et de vers, la voilà valsant en plein cœur du bazar du Bouing. Elle n'est pas signée, mais l'écriture si particulière du Féca qui tenait la plume ne peut pas passer inaperçue pour ceux le connaissant un minimum.
La lettre se pose enfin, sans humour, mais d'une vérité blessante du vol disparu.
Simple message aux cieux, appel à l'aide d'une mémoire qui s'efface... Il faudra faire avec...

Citation :: Voler.

Je me souviens de montagnes, de nuages
et de vallées.

De tout ce que le vent
m'a apporté,

Et de là où il m'a
mené...

Je tombe.

M'en souviens-je vraiment ?

Je ne sais pas. Je ne sais plus.

Tout se mêle autour de moi.

Je tombe ?

Tant de questions n'ayant pas leur
réponse...

Ce souvenir de vol... A-t-il tant
d'importance ?

Je ne sais plus.

Je tombe !

Levant la tête – étoiles
dans le ciel.

Rebond, force et envol.

Qui suis-je vraiment... Moi... Machine
? Volatile ?

Simple humain... En train de tomber ?

Choc.

Noir.

Lumière.

Tout disparaît dans le néant...

Seul le vent reste.

Preuve qu'il y a eu quelque chose.

Ici.

Et ce vent, ce vent de souvenirs à
jamais disparus,

Ce vent m'apporte pourtant une première
réponse...

Voyage.

Les ailes se déchirent.
Je tombe.

Tout se dissout dans les ténèbres.

Ils y ont crû les patacrus
Que le p'tit Tarnouille allait pas sortir ses rimes
Comme vous êtes là vous allez tous tomber des nues
Pac'que ça va pas être un poème dans l'vent, une brise maritime !

D'ailleurs en parl'ant d'vent, pourquoi ne pas parler d'ce tas d'bois?
Le Bouing, comme y disent, qui vole .. Ou pas.
Dans c'machin volant donc, qui qu'c'est qu'y a donc dis moi?
Une pilote, quelques copilotes .. Rien d'bien soft tout ça !

Mais j'm'égare dans l'vent d'mes rimes, rien qu'pour vous,
J'viens m'poser prêt d'votre Bouing, vous mes chouchous.
Bien que je n'sois pas du voyage,
J'suis avec attention les périples de votre compagnie à travers les âges,
Et croyez bien que j'suis heureux pour vous, petits chanceux,
Vous qui voyagez dans la bonne humeur tout en étant heureux !

Allez j'm'arrête là, c'était le p'tit Tarnouille en direct de sa maison
Qui rien qu'pour vous c'était fait une raison
D'écrire s'poème à l'arrache et plus être sur une certaine liste noire
Tchao mes zouzous, volez bien sans vous faire avoir !

[Je négocie le prix du screen Isouille !]

Dans la maison de guilde des Not-yet-Obsolete, une vieille comptine empoussiérée est placardée.
Il paraît qu'elle raconte la grandeur et la déchéance de ceux qui furent les précurseurs d'Air Force Sram.
Car il y a longtemps, très longtemps, dans une galaxie pas si lointaine, les Nyos avaient décidé de voler de leurs propres ailes.

Pouème a écrit:: Dix petits nyos naquirent à Incarnam.
L'un d'eux trébucha et il n'en resta plus que neuf.

Neuf petits nyos firent comme Icare.
L'un d'eux croisa un kwakère et il n'en resta plus que huit.

Huit petits nyos apprirent Mot d'envol.
Un corbac déstabilisa l'un d'eux et il n'en resta plus que sept.

Sept petits nyos apprirent à voler chez les pandikazes.
L'un d'eux croisa le Maître Pandore et il n'en resta plus que six.

Six petits nyos virent un joli canon.
L'un d'eux monta dedans et il n'en resta plus que cinq.

Cinq petits nyos fabriquèrent un OVNNI chez les brigandins.
L'un d'eux bouscula un robot et il n'en resta plus que quatre.

Quatre petits nyos invoquèrent un tofu pour se faire porter.
L'un d'eux fouetta sa monture et il n'en resta plus que trois.

Trois petits nyos voulurent dresser un bitouf aérien.
Un kaskargo bava l'un d'eux et il n'en resta plus que deux.

Deux petits nyos volèrent avec le Jakchir'arc.
L'un fit un échec critique et il n'en resta donc plus que un.

Un petit nyo se trouva tout seul.
Il utilisa son bandit ensorceleur et il n'en resta plus aucun.

Laissez-moi maintenant vous conter en détail l'histoire de ceux qui ne furent jamais fichus de construire un bouing.

Tout commença à Incarnam. Là où ils naquirent. Ils étaient dix. Fiers, doués et costauds.
Heu... en tout cas fiers.
Il advint que l'un d'eux tomba. Jusqu'à Astrub.
[Petite animation] Concours de poèmes Afs10

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Les autres descendirent lui porter secours.
Ils arrivèrent à temps pour le voir remonter dans l'autre sens.
C'était son âme qu'ils virent s'envoler. Mais peu le comprirent.
Enfin personne quoi.
Alors ils décidèrent de remonter.
Mais l'accès était fermé.
Une histoire de bleu velh.
Alors ces anges pas vraiment déchus, mais plutôt trébuchés jurèrent de voler à nouveau pour remonter.
Il n'en restait plus que neuf.

Idée n°1 :
Alors ils prirent de la kole et allèrent récolter des plumes de kwak.
[Petite animation] Concours de poèmes Afs9

Bien sûr l'un d'eux voulut prendre les plumes directement dans un nid et tomba sur une kwakère...
[Petite animation] Concours de poèmes Afs92

Il n'en resta plus que huit.

Idée n°2 :
Ils allèrent voir un eniripsa apprendre mot d'envol.
L'un d'eux vola entre des corbacs...
[Petite animation] Concours de poèmes Afs8

[Petite animation] Concours de poèmes Afs8

Il n'en resta plus que sept.

Idée n°3 :
Ils rendirent visite au promoteur de l'agence tout riste.
L'un d'eux crut en son baratin...
[Petite animation] Concours de poèmes Afs7

[Petite animation] Concours de poèmes Afs7

Il n'en resta plus que six.

Idée n°4 :
Ils décidèrent d'apprendre à voler auprès des pandikazes aériens.
Mais le Maître Pandore n'était pas d'accord...
[Petite animation] Concours de poèmes Afs3

[Petite animation] Concours de poèmes Afs3

Il n'en resta plus que cinq.

Idée n°5 :
Ils fabriquèrent un OVNNI (Objet Volant Nyo Non Identifié, à noter qu'on Objet Volant Nyo est TOUJOURS Non Identifié) avec l'aide des habitants du village brigandin.
[Petite animation] Concours de poèmes Afs5

[Petite animation] Concours de poèmes Afs5

Mais l'un d'eux bouscula les machines des habitants...
[Petite animation] Concours de poèmes Afspous1

Il n'en resta plus que quatre.

Idée n°6 :
Ils allèrent voir un osamoda pour apprendre à invoquer des tofus ventripotents capables de les porter.
[Petite animation] Concours de poèmes Afs4

[Petite animation] Concours de poèmes Afs4

Mais l'un d'eux a voulu encourager les tofus à voler plus vite en les fouettant...
Il n'en resta plus que trois.

Idée n°7 :
Ils voulurent capturer un bitouf aérien pour le chevaucher.
Mais il y avait un kaskargo...
*Image censurée car trop violente*
Il n'en resta plus que deux.

Idée n°8 :
Ils décidèrent de voler avec le Jakchir'arc.
Mais ils n'avaient pas tenu compte des autres caractéristiques.
[Petite animation] Concours de poèmes Afs2

[Petite animation] Concours de poèmes Afs2

Comme ils étaient deux, l'un d'eux échoua...
Il n'en resta plus que un.

Idée n°9 :
Il utilisa son bâton ensorceleur et s'envola.
[Petite animation] Concours de poèmes Afs1

[Petite animation] Concours de poèmes Afs1

Staps et Tremblotte.

Qu'ils soient Air ou bien Force, ces chaferfus de Srams
Je m'en balance franchement. Qu'ils voyagent !
Et ainsi prudemment s'éloignent de ma lame...
Ces morbides squelettes savent me mettre en rage.

Nul besoin de bouger : vagabonde est mon âme,
Je ne sais pas voler mais mon cœur est volage.
La meneuse d'AFS est une charmante dame,
Clandestin, la séduirai-je dans les nuages ?

PS : J'aurais voulu rajouter un "t chode à la cam ?" au milieu de ces rimes en ame mais des impératifs de temps m'en ont empêché. Je vous prie de m'en excuser [Petite animation] Concours de poèmes 961408

[Petite animation] Concours de poèmes 961408

Drewry vint a l’aéroport pour y déposer son poème, il prit le temps de retirer sa première participation puisque qu’il était aller chercher de l’aide pour l’écriture de son premier poème. Il avait passer des nuits entière à travailler sur ce deuxième poème, cette fois il impressionnerait les passagers d’air force sram !

　
　

Citation :: Comme j’admire tes essieux,
Brillant dans les cieux.
Sous le regard des dieux.

Volant tel un ange,
Sachant éveiller,
Ce puissant désir étrange
De vouloir voler.

D‘où me vient ce mal de l‘air,
Cette Fatigue insensée en haute atmosphère
Comme un vieux pépère.

Tout semble parfois si vulnérable,
Mais ta course continu
Quand a cette hauteur tout semble instable,
Tous sont a nu

Malgré les attentions constantes,
D’Isaya pour son bouing
Cette balade reste effrayante
Comme une Excusion avec des vikings.

Triste, je suis de me sentir aussi mal
Durant cette interminable cavale
Je le regarde une dernière fois
Pour y graver cette beauté de roi.

[Bonsoir à toutes et à tous, je suis tombée sur le concours alors je me suis dit il y a deux heures "pourquoi ne pas y participer?! J'inaugure donc mon premier post ici par une poésie illustrée. Néanmoins, à la vue de l'heure tardive, je n'ai pas le temps de mettre en couleur le reste (soit 4 autres planches)...et en plus il y a un orage terrrrrible...
Je complèterais prochainement et d'aventure, je m'y prendrais plus tôt [Petite animation] Concours de poèmes 650433

[Petite animation] Concours de poèmes 650433

!
Pardon si c'est moche (la colo à la souris c'est mor-tel) [Petite animation] Concours de poèmes 6947

Bonne soirée ! ]

[Petite animation] Concours de poèmes Img-2254394qp94

Les premiers vers:
J'étais dans l'un de ces vaisseaux volants
De ceux dont les hommes rêvent depuis des éons
Par le hublot scrutant le firmament
Je mirais les nues pareilles au coton
C'est soudain que se leva, vif, l'autan
De bourrasques ballota l'embarcation (j'ai fait un grosse faute sur l'original)
On entendait gémir le gréement,
Et vibrer la carcasse sous les affronts.
Malmené fut notre compartiment
Où s'interrompit toute hibernation...

(La suite plus tard :p
Ps: je me suis inspirée du "bouing" de Vengou)

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